« Spontanément on pense capital naturel, capital matériel, capital humain, mais on oublie l’essentiel. Et l’essentiel, c’est le capital immatériel.
Il est facile de voir que lorsque deux territoires sont confrontés au même type de crise, l’un utilise cette crise comme révélateur d’énergie, comme une occasion de rebondir et d’innover, l’autre comme une fatalité qui l’écrase. Il est vital de comprendre pourquoi. Et le pourquoi, c’est le capital immatériel, c’est à dire les traditions qui se construisent souvent sur très long terme, d’apprentissage de la coopération, d’apprentissage de la capacité à dépasser les divergences d’intérêt pour et au nom de l’intérêt commun.

Et donc il faut regarder les PTCE non pas comme une chose en soi mais comme un des lieux où est en train de se construire ce capital immatériel de demain et ce sera au coeur de la résilience des territoires au coeur de leurs capacités à surmonter les multiples crises qu’on va avoir à répétition »

Extrait de l‘intervention de Pierre calame lors de la 2ème journée des PTCE en septembre 2014

De quels capitaux dispose un territoire pour son développement ?

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